La production de logements locatifs sociaux est désormais majoritairement issue d'achats en l'état futur d'achèvement (VEFA) à des promoteurs privés. A quels facteurs doit-on attribuer les rasions de ce succès ?
La crise s’est accompagnée en Ile-de-France d’un creusement des inégalités de niveau de vie, puis d’une relative stabilité. Dans un contexte d’envolée des prix immobiliers, le statut d’occupation et le logement sont devenus des marqueurs sociaux plus forts et participent de plus en plus à la différenciation sociale sur le territoire. Depuis le début des années 2000, la mobilité résidentielle a diminué et le parc social devient de moins en moins une étape en vue d’un projet d’accession à la propriété, mais un parc refuge.
Ce qu’on appelle « l’artificialisation des sols » est une question centrale pour le logement : il n’y a pas de logement sans sol. Le gouvernement a adopté récemment un objectif de Zéro artificialisation nette. Est-ce à dire qu’on ne pourra plus construire ? Qu’il s’agit d’un simple effet d’annonce ? D’une nécessité pour un développement durable ?
Remerciements
à Guillaume Chapelle (LIEPP-Sciences Po), Jean-François Côte et Alain David (Paris Notaires Services), Adelia Nobre et Anne Papadopoulos (ADNOV) pour leur précieux concours
Les indices de prix des logements constituent un outil important pour l’analyse économique, la politique monétaire,…
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